Srfph-aquitaine.fr https://www.srfph-aquitaine.fr Santé, bien être & actualités médicales Thu, 15 Jul 2021 11:05:23 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.5.2 https://www.srfph-aquitaine.fr/wp-content/uploads/2021/01/cropped-icone-32x32.png Srfph-aquitaine.fr https://www.srfph-aquitaine.fr 32 32 La santé de bébé https://www.srfph-aquitaine.fr/la-sante-de-bebe/ https://www.srfph-aquitaine.fr/la-sante-de-bebe/#respond Thu, 15 Jul 2021 11:01:19 +0000 http://www.srfph-aquitaine.fr/?p=119 Avant que bébé n’arrive, vous avez fait des recherches, lu des ouvrages sur la maternité et tous les blogs disponibles sur vos responsabilités de parents. Eh oui, c’est tout à fait normal de vouloir savoir comment faire pour prendre soin d’un nouveau-né. Les premières heures de sa vie sont importantes et vous voulez faire votre maximum pour lui. Bien évidemment, chaque enfant est différent et unique, mais pour la santé, vous devez être très vigilant.

Chez le pédiatre les premiers mois

Le système immunitaire de votre bébé est très fragile, il est donc important de consulter le médecin tous les mois. Il surveillera la santé de votre bébé, il prendra ses mesures, son poids et vérifiera que tout est en ordre. Vous devez l’emmener chez le pédiatre pendant 6 mois successifs, ensuite il vous faudra l’emmener tous les 3 mois jusqu’à ces 12 mois et ensuite 4 mois jusqu’à ce que bébé ait 2 ans. Ce sont des visites obligatoires, notez soigneusement les dates auxquelles vous devez absolument emmener votre bambin chez son médecin. Si votre bébé est prématuré ou un petit peu plus fragile que la normale, les visites chez le médecin seront plus fréquentes pour vérifier qu’il se développe bien.

Les soins du nourrisson

Pour entretenir la santé de votre bébé, il est important d’utiliser des produits de soin conçus pour bébés. Servez-vous d’un savon sans parfum pour le laver délicatement avec un gant bien doux et ne touchez surtout pas au cordon ombilical pendant le bain. Pour laver son visage, un gant et de l’eau tiède suffiront. Surtout, ne laissez jamais votre bébé sans surveillance dans son bain. Préparez une serviette chaude à l’avance pour l’ envelopper. Votre bébé n’a pas besoin de prendre son bain tous les jours, vous pouvez le laver tous les 2 ou 3 jours. Une hygiène adaptée à votre nourrisson est essentielle pour le garder en bonne santé.

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Pourquoi porter un masque de protection FFP2 ? https://www.srfph-aquitaine.fr/pourquoi-porter-un-masque-de-protection-ffp2/ https://www.srfph-aquitaine.fr/pourquoi-porter-un-masque-de-protection-ffp2/#respond Thu, 03 Dec 2020 16:51:00 +0000 http://www.srfph-aquitaine.fr/?p=14 FFP2, ce mot est sur toutes les bouches depuis que le coronavirus sévit à travers toute la planète. Il s’agit de l’acronyme qui signifie littéralement pièce faciale filtrante de seconde génération. Le port de ce matériel médical éprouvé confère bon nombre d’avantages. Découvrez quelques bonnes raisons d’en mettre, lorsque la situation le demande.

Le masque FFP2 offre une protection optimale contre les virus

Différents types de masques sont disponibles dans le commerce. Les modèles dits chirurgicaux sont efficaces à 80 % contre les germes. Ils se destinent toutefois aux pièces aseptisées, en l’occurrence le bloc opératoire. Puis, il y a les FFP2. Ils filtreraient environ 94 % des particules en suspension dans l’air. C’est la meilleure protection contre les virus et les bactéries. Il s’agit aussi de dispositif de choix pour se prémunir des postillons. Pour freiner jusqu’à 99 % des agents pathogènes et des molécules les plus fines, il faudra se tourner vers une troisième génération d’accessoires. Seulement, elle est encore réservée à certaines professions. De toutes les manières, les modèles FFP2 sont suffisamment performants pour barrer la propagation du coronavirus. Ils ont déjà montré leur efficacité pendant diverses maladies transmissibles. Le personnel soignant, mais surtout les patients peut appuyer cette affirmation. Les professionnels ont l’habitude de porter cet équipement médical au temps de la grippe A (H1N1) de 2009. Il y avait également la crise du SRAS. Certains individus doivent leur vie à cette invention qui date de quelques décennies déjà. Il est important de respecter les consignes en matière de port de masque. Une fois que vous vous trouvez dans un environnement potentiellement contaminé par un virus, votre protection doit être continuellement mise.

Porter un matériel médical de qualité pour moins s’exposer

Le port de masque FFP2 est justifié pour se protéger si vous êtes en contact avec des individus susceptibles de vous transmettre un virus (quasiment tout le monde). C’est la raison pour laquelle les soignants doivent obligatoirement le mettre. Le personnel médical bénéficie alors d’un dispositif de base. Elle devient optimale avec un équipement de protection individuel ou EPI. C’est un ensemble comprenant un calot, des gants à usage unique ainsi qu’une combinaison spécialement conçue pour le milieu hospitalier. Chez les particuliers, les personnes potentiellement à risque sont également conviées à adopter une prévention adéquate. Les diabétiques, les hypertendus ou les patients d’un certain âge sont invités à doubler de vigilance. Le port d’un masque homologué serait un bon début. Tant mieux s’il est possible d’avoir un FFP2 lors des rassemblements d’humains. Ceux qui ont des proches vulnérables à la maison devront aussi faire la même chose. C’est le cas des parents avec un nourrisson prématuré ou le mari avec une femme enceinte qui l’attend dans leur foyer. Le haut niveau de filtration de cette protection faciale rend service aux patients avec une immunité déclinante. La plupart des personnes âgées devront alors prendre en considération ce détail. Les asthmatiques et ceux qui souffrent d’une pathologie chronique ont intérêt à mettre leur masque de manière sérieuse. En temps de pic de cas confirmés, ils feront mieux de limiter les contacts avec d’autres humains et moins fréquenter les lieux publics.

A chaque situation correspond son masque facial

Le masque FFP2 est un vrai matériel médical qui a son coût. C’est pour cette raison que le port de ce dispositif devrait se limiter à certaines situations. Les soignants en contact avec les malades du coronavirus devront par exemple en mettre continuellement. Ils suffoqueront moins qu’avec les modèles chirurgicaux classiques en cellulose. L’Académie nationale de médecine a déclaré dans un communiqué du 7 septembre 2020 que les autres déclinaisons sont valables. Elles offrent une protection dans les hôpitaux et les centres de santé. Pour preuve, les versions jetables en papier sont à privilégier pour les activités de soins en clinique. Elles devraient aussi être utilisées en EPHAD. Ces établissements prennent en charge des personnes âgées dont l’autonomie décline. Ils ont enregistré un grand nombre de victimes du covid-19. Pour les particuliers, le port de FFP2 reste facultatif. Pour faire les courses ou aller en cours, les masques lavables en tissu sont à privilégier. Cette recommandation est justifiée par des motifs écologiques et économiques. Puis, les professionnels de la santé peuvent attester que cette protection de base convient dans un espace public ouvert.

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Pourquoi faire une cœlioscopie ? https://www.srfph-aquitaine.fr/pourquoi-faire-une-coelioscopie/ https://www.srfph-aquitaine.fr/pourquoi-faire-une-coelioscopie/#respond Sat, 12 Sep 2020 07:03:00 +0000 http://www.srfph-aquitaine.fr/?p=13 La cœlioscopie est une forme de chirurgie permettant d’explorer l’intérieur de la cavité de l’abdomen et la région pelvienne. L’objectif étant de faire une intervention sur des organes présentant une anomalie. Pourquoi pratiquer cette chirurgie ?

Les objectifs de la cœlioscopie

La cœlioscopie, appelée aussi laparoscopie, est une chirurgie consistant à réaliser une ouverture sur le ventre en vue d’observer la zone abdominopelvienne. Elle peut être pratiquée pour des fins différentes : diagnostiques ou thérapeutiques. Elle est utilisée pour établir un diagnostic via l’observation de la partie interne de la cavité abdominopelvienne qui se trouve au milieu du diaphragme et le bassin. Pour ce faire, le chirurgien réalise une petite incision sur la paroi abdominale afin de pouvoir y introduire du gaz carbonique. L’observation est réalisée par la suite à l’aide d’une petite caméra insérée dans l’abdomen. Cette dernière est connectée à un écran dans le but d’examiner de plus près différents organes qui peuvent présenter des lésions. Parmi ces organes, on peut citer le foie, l’intestin grêle et le gros intestin, les trompes de Fallope et l’utérus ou les ovaires. Souvent, ce type de cœlioscopie est réalisé lorsque le patient souffre de douleurs abdominales et que le médecin suspecte une endométriose, un fibrome ou un kyste ovarien. L’opération est donc nécessaire pour confirmer le diagnostic. Parfois, il est demandé pour faire le bilan d’infertilité. Dans un but thérapeutique, la cœlioscopie est utilisée pour une intervention sur les organes présentant des lésions. Le chirurgien doit faire d’autres incisions pour introduire les outils chirurgicaux. Par ailleurs, ce type de chirurgie peut être réalisé dans des domaines différents dont la cancérologie, l’urologie ou la gynécologie. Le chirurgien peut aussi intervenir sur tous les organes digestifs via la cœlioscopie. Idem pour réaliser une chirurgie relative à l’obésité (pose d’une bypass gastrique par exemple).

Le déroulement d’une cœlioscopie

Il faut bien se préparer à ce type d’intervention et l’hospitalisation. Avant toute chose, il faut passer par deux consultations dont une avec l’anesthésiste et l’autre avec le chirurgien. Le patient est hospitalisé une journée avant la cœlioscopie ou bien le jour de l’intervention mais de bonne heure. Placé sous anesthésie, il doit être opéré à jeun à partir d’une certaine heure : définie de manière précise par l’anesthésiste. Toute sorte de boisson est interdite également, tout comme la cigarette. On lui donne aussi un savon antiseptique avec des explications sur son utilisation avant la chirurgie. Par ailleurs, la durée d’hospitalisation varie suivant l’objectif de la laparoscopie : thérapeutique ou diagnostique. L’hospitalisation peut ainsi durer une journée ou quelques jours. Quoi qu’il en soit, il est nécessaire que le patient soit accompagné par un de ses proches.
Voici comment se déroule la cœlioscopie en quelques étapes :
• Installation du patient dans une chambre avant l’intervention
• Mise sous anesthésie du patient dans le bloc opératoire
• Introduction d’un tube fin au niveau de la trachée pour assurer la ventilation de manière sécurisée
• Introduction d’une sonde urinaire au niveau de la vessie : une vessie vide est requise
• Incision réalisée par le chirurgien sur la zone du nombril
• Passage du gaz carbonique à travers la cavité abdominale
• Soulèvement de la paroi abdominale
• Installation d’une mini-caméra et d’une lampe en vue de faciliter l’observation des organes ou tout simplement pour réaliser la chirurgie avec précision.
• Transmission des images sur l’écran connecté à la caméra
Des incisions supplémentaires sont réalisées si le chirurgien doit opérer le patient : entre 05 et 1.2cm environ. Cela permet le passage des instruments nécessaires pour la chirurgie comme les pinces, les ciseaux, etc. L’intervention s’achève par l’évacuation du gaz carbonique insufflé et la fermeture de toutes les incisions.

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Les différents types de régimes pour diabétiques https://www.srfph-aquitaine.fr/les-differents-types-de-regimes-pour-diabetiques/ https://www.srfph-aquitaine.fr/les-differents-types-de-regimes-pour-diabetiques/#respond Sat, 11 Jul 2020 12:37:00 +0000 http://www.srfph-aquitaine.fr/?p=12 Le diabète est l’une des maladies nécessitant un régime spécifique qu’il faut suivre quasiment à la lettre.

– Les principes généraux du régime contre le diabète

La proportion de chaque catégorie d’aliment se définit comme suit : 40% à 50% de glucides, 15% de protéines et 30% à 45% de lipides. Il ne s’agit pas de suivre un régime diabète sévère, mais de pouvoir manger de tout à des quantités raisonnables. En d’autres termes, avoir une alimentation variée et équilibrée. Ne jamais prendre du sucre en morceaux sauf en cas d’urgence d’hypoglycémie. Un nutritionniste ou un diététicien travaille de concert avec le diabétologue pour donner conseils et contrôler le poids d’un patient atteint du diabète. Il ne faut jamais sauter de repas et les prendre à une heure régulière, les 3 principaux repas et 1 ou 2 collations. Chaque ration doit contenir des féculents, des fruits et légumes. Se nourrir plutôt de viandes maigres et de poisson 2 à 3 fois par semaine. Il est préférable d’avoir un petit déjeuner complet, de boire suffisamment d’eau et d’éviter tout ce qui est riche en sucre. Il s’avère également préférable de limiter les aliments cuisinés.

– Le régime du diabète de type 1

Le diabète de type 1 se traite par l’insuline et requiert une alimentation équilibrée. Les glucides (pâtes, pomme de terre et pain inclus) ne doivent pas dépasser les 50% des apports caloriques. Tandis que les graisses sont limitées à 30% ou 65g des apports calorifiques journaliers. De même pour les viandes, 150g par jour par personne diabétique devrait suffire. Les légumes riches en fibres sont donc les bienvenus.

– Le régime du diabète de type 2

Le diabète de type 2 est souvent associé à une surcharge pondérale. Il exige donc un régime diabète un peu plus strict. Atteindre le poids idéal est une fausse interprétation, car quel que soit le poids du patient diabétique, perdre entre 5kg et 10kg conduit à rétablir le taux de la glycémie. Il s’agit aussi de supprimer les bonbons, les jus de fruits et autres aliments qui agissent directement sur la glycémie.

– Le diabète et les protides ainsi que les lipides

En ce qui concerne les protides, son ensemble est limité à 15% de la totalité du repas journalier. Ce sont les : protéines animales (viandes, poisson, laitages) ; les protéines végétales (le riz, le pain, les céréales et les pâtes) et les légumes secs et le soja. Les lipides quant à eux : charcuteries, sauces et fromages sont à diminuer. Les viandes blanches, les poissons et les légumes sont à préférer par rapport à d’autres aliments. La cuisson à la vapeur, le bain-marie, le four ou le grill se veut être plus bénéfique.
Nombreux sont les aliments à proscrire. Des graisses animales (beurre crème fraîche épaisse, fritures, jaune d’œuf et autres) à l’alcool, en passant par les aliments trop salés (biscuit d’apéritif) et surtout le sucre sous toutes ses formes (miel, crème glacée, soda…). Mais le sucre par édulcorant n’est pas interdit.

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Quelle différence entre l’homéopathie, la phytothérapie et l’aromathérapie ? https://www.srfph-aquitaine.fr/quelle-difference-entre-lhomeopathie-la-phytotherapie-et-laromatherapie/ https://www.srfph-aquitaine.fr/quelle-difference-entre-lhomeopathie-la-phytotherapie-et-laromatherapie/#respond Wed, 20 May 2020 14:33:00 +0000 http://www.srfph-aquitaine.fr/?p=11 On a tendance à confondre la phytothérapie, l’aromathérapie et l’homéopathie. Ce sont toutes des médecines douces, mais qui fonctionnent différemment. L’homéopathie est récente par rapport à la phytothérapie qui existait depuis longtemps pour soigner les maux du quotidien. Dans cet article, vous allez découvrir comment les distinguer.

Chaque thérapie a son mode de fonctionnement respectif

La grande différence entre ces trois médecines naturelles est leur mode de fonctionnement. L’aromathérapie ainsi que la phytothérapie utilisent des molécules chimiques pour aider l’organisme à se rétablir. Ces deux thérapies se servent donc des huiles essentielles et des plantes médicinales comme décoctions, cataplasmes ou tisanes pour soigner une maladie. Elles sont très efficaces et se constatent rapidement dès le début du traitement. Par contre, l’homéopathie considère que chaque individu possède une pharmacie interne qui est assez performante. En effet, il existe des facteurs qui jouent sur l’état de notre santé. Ce sont la mauvaise alimentation, le manque de sommeil, le stress, etc. Par conséquent, l’organisme ne peut pas se défendre correctement et est donc vulnérable face à toutes les agressions extérieures. C’est à ce moment-là que les symptômes surgissent. L’homéopathie fait en sorte que cette pharmacie interne devienne très performante. Elle va lui fournir les clefs ainsi que les informations essentielles pour s’améliorer. Notez que chaque individu a sa propre sensibilité et pourrait réagir plus ou moins à l’homéopathie.

Chaque méthode a ses principes actifs

La phytothérapie ainsi que l’aromathérapie, basées sur les huiles essentielles ou essences végétales, possèdent une seule substance d’origine dont les plantes. En revanche, les petites granules homéopathiques sont faites à partir de substances qui proviennent de différentes origines. Il y a à peu près 3000 souches de base qui sont peut-être d’origine végétale telle que les plantes fraiches. Puis, il y a celles qui sont d’origine animale comme le venin de serpent ou les abeilles, ou encore minérale et chimique comme le mercure, le graphite et le phosphore. En outre, les dosages ne sont pas du tout les mêmes pour ces trois types de médecines naturelles. Les granules homéopathiques sont prescrits en faible dosage. En effet, ce médicament est indiqué suite à une succession de dilutions, après l’étape de dynamisation. Toutefois, la possibilité de déremboursement de frais lié au traitement homéopathique rappelle qu’il n’y a pas encore de preuve scientifique pour prouver si cette médecine douce est efficace.

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Les lucites estivales: savez-vous ce que c’est ? https://www.srfph-aquitaine.fr/les-lucites-estivales-savez-vous-ce-que-cest/ https://www.srfph-aquitaine.fr/les-lucites-estivales-savez-vous-ce-que-cest/#respond Thu, 19 Mar 2020 15:54:00 +0000 http://www.srfph-aquitaine.fr/?p=10 Les beaux temps sont là et vous faites sans doute partie de ceux qui souhaitent profiter des bains de soleil à la plage ou au bord de l’eau. Attention cependant aux lucites estivales. Connu sous l’appelation « allergie au soleil », les lucites estivales concernent surtout les 10 à 20% des français entre 20 et 30 ans. Elles sont sans gravité, mais provoquent des désagréments qui peuvent gâcher vos vacances. Victimes de l’allergie au soleil? Voici comment vous devez réagir.

Quels sont les causes des lucites estivales?

L’origine exacte des lucites estivales n’est pas très définie. Plusieurs hypothèses ont été émises à ce sujet comme les problèmes hormonaux, la prise d’anxiolytiques ou de pillules contraceptives, ect. Aucunes causes formelles n’aient cependant pas émis par le corps médical. Les experts s’accordent dire par contre, qu’être exposée aux rayons UV de la manière prolongée peut être l’une de source qui favorise les lucites estivales.

Quels en sont les symptômes ?

Les lucites se manifestent par des éruptions cutanées, des plaques rouges et d’importantes démangeaisons. Ces symptômes apparaissent entre 12 à 72h d’exposition au soleil. Ils peuvent toucher les épaules, le décolleté, les bras, le dos, les jambes et les pieds. En d’autres termes, les signes de la maladie apparaissent dans les zones les moins exposées en permanence au soleil. Les parties du corps comme le visage sont plus résistantes aux effets des rayons ultraviolets.

Comment traiter cette forme d’allergie ?

Un crème corticoïde est recommandé si vous souffrez d’inflammation et de démangeaison intenses. Vous devez les appliquer sur les lésions jusqu’à ce que celles-ci disparaissent complètement. Vous pouvez également utiliser des protections solaires UVA UVB à chaque fois que vous vous exposé au soleil avant la disparition des éruptions cutanées. Vous devez éviter d’être en contact avec les rayons UVA si vous voulez faire disparaître les lésions. Cela préservera également l’état de votre peau durant les vacances.

Comment prévenir les lucites estivales ?

La meilleure façon d’éviter ce désagrément c’est de préparer la peau bien avant de sortir au soleil. Vous n’avez pas besoins d’y appliquer une crème solaire à forte indice de protection. Pour préparer votre peau, vous devez employer une ratio de protection SPF30UVA / SPF30UVB. C’est indispensable que vous êtes allergique au soleil ou pas. Il faut aider à la peau à s’adapter au rayon du soleil progressivement. Evitez de rester au soleil pendant des heures durant les premiers jours de vacances. Cela minimisera également les risques de coups de soleils. Eviter les bains de soleil entre 12 h et 16 h. Appliquez de la protection solaire après chaque baignage. Avant les vacances, effectuez une cure de compléments alimentaires contenant de caroténoïdes (mélange de bêta-carotène et de lycopène), de vitamine C et E, de sélénium, d’antioxydants et d’huiles de poissons.

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Mieux comprendre les maladies auto-immunes https://www.srfph-aquitaine.fr/mieux-comprendre-les-maladies-auto-immunes/ https://www.srfph-aquitaine.fr/mieux-comprendre-les-maladies-auto-immunes/#respond Tue, 05 Nov 2019 10:36:00 +0000 http://www.srfph-aquitaine.fr/?p=9 On sait de façon formelle que les maladies auto-immunes sont dues au mauvais fonctionnement ou au dysfonctionnement du système immunitaire. De nombreuses recherches et études permettent aux scientifiques d’affirmer ce point. On sait également qu’en raison de ce dysfonctionnement, le système immunitaire se met à agresser les constituants normaux du corps. C’est ce qui passe dans le cas de la polyarthrite rhumatoïde, de la sclérose en plaques ou en encore dans le cas du diabète de type 1.

Les maladies auto-immunes

Chacune de ces maladies est une maladie très complexe, entraînant toutes sortes de problèmes et de troubles chez ceux qui en sont atteints. Ce qui explique pourquoi, aujourd’hui encore, les recherches dans ces domaines ne s’arrêtent jamais, car les scientifiques souhaitent trouver de meilleures thérapies pour une meilleure prise en charge des patients. Le but étant d’arriver à prendre le contrôle du système immunitaire défaillant, tout en veillant à ce qu’il reste en alerte par rapport aux agents pathogènes tels que les bactéries et les virus. Le système immunitaire, censé apporter protection et défense à l’organisme, se retourne contre celui-ci. Deux risques se présentent alors : un, le système immunitaire devient trop sensible à des constituants exogènes et provoque des allergies, et deux, il réagit de manière inappropriée aux constituants du soi et favorise l’apparition de maladies auto-immunes.

Au coeur des maladies auto-immunes

Il existe de très nombreuses maladies auto-immunes dont le diabète de type 1, la maladie de Crohn, la sclérose en plaques et la polyarthrite rhumatoïde. Toutes ces maladies, et d’autres encore, sont toutes des maladies chroniques. Qu’est-ce qui permet leur survenue ? Principalement la perte de tolérance immunologique de l’organisme face à ses constituants naturels. Ce qui veut dire que ce sont les effecteurs naturels de l’immunité qui créent des lésions cellulaires ou tissulaires engendrant d’autres maux. Tel ou tel effecteur peut atteindre un organe en particulier, ce peut être le pancréas, le foie, les neurones ou d’autres zones précises de l’organisme. Des effecteurs peuvent aussi viser les tissus du corps. Normalement, le système immunitaire dispose d’une autoréactivité, à un certain degré. C’est ce qui fait que les lymphocytes B responsables de la formation d’anticorps et les lymphocytes T peuvent cibler les cellules du corps et leurs composants, c’est-à-dire les protéines, l’ADN, les noyaux cellulaires, etc. Mais au cours du développement, l’organisme développe une espèce de tolérance immunitaire vis-à-vis des constituants du soi. Les facteurs favorisant cette rupture du soi sont multiples. C’est probablement la raison pour laquelle il est difficile, voire impossible d’en déterminer l’origine exacte.

Les facteurs déclenchant

Dans la plupart des cas, il apparaît sans nul doute que c’est la combinaison de plusieurs facteurs qui seraient la cause de la survenue et du développement des maladies auto-immunes. Il y a les facteurs génétiques, les facteurs endogènes, exogènes et/ou les facteurs environnementaux. Parlons en premier des facteurs génétiques. Des particularités génétiques favoriseraient le développement de plusieurs types de maladies auto-immunes. Entre autres particularités, les gènes HLA, les protéines HLA qui se trouvent à la surface des cellules et qui, en temps normal, permettent au système immunitaire de distinguer clairement les cellules naturellement présentes dans l’organisme et celles qui sont étrangères, c’est-à-dire ce qui permet de reconnaître le soi du non-soi. Sont parfois incriminés également des variations de la séquence de gènes non-HLA, variations qui induisent les gènes en erreur dans leur codage. Par exemple, on sait que parmi les facteurs de risque de diabète de type 1, de lupus ou de polyarthrite rhumatoïde, il y a les polymorphismes du gène PTPN22. Pour les sclérodermies systémiques ou la polyarthrite rhumatoïde, les polymorphismes des gènes IRF5, et la survenue de la maladie de Basedow ou de la polyarthrite rhumatoïde provient des polymorphismes du gène CD40. Cependant, les polymorphismes des gènes HLA restent les causes les plus probables de la survenue d’une maladie auto-immune.

Les autres facteurs

Quant aux facteurs endogènes, il faut savoir que c’est probablement la présence des hormones féminines agissant sur les mécanismes de contrôle de l’auto-immunité qui expliquerait le risque plus grand de survenue d’une maladie auto-immune chez la femme. Il a été prouvé également que l’inflammation chronique pouvait aussi être à l’origine d’une maladie auto-immune. Des tests et des expériences tendent à prouver une forte relation entre une maladie auto-immune et le microbiote intestinal, celui-ci se situant entre le système immunitaire et l’environnement. En effet, il a été démontré que chez les sujets souffrant d’une maladie auto-immune, la dysbiose -modification en quantité et en qualité des espèces colonisant le système digestif- est de loin plus présente que chez les sujets normaux. Il faut pourtant préciser qu’il n’est pas encore établi actuellement si la dysbiose est une cause d’une maladie auto-immune ou une de ses conséquences. Être exposé à certains composants et divers pathogènes semblent aussi augmenter le risque de développer une maladie auto-immune.

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Quand les produits psychoactifs font ravages chez les jeunes https://www.srfph-aquitaine.fr/quand-les-produits-psychoactifs-font-ravages-chez-les-jeunes/ https://www.srfph-aquitaine.fr/quand-les-produits-psychoactifs-font-ravages-chez-les-jeunes/#respond Wed, 28 Aug 2019 12:37:00 +0000 http://www.srfph-aquitaine.fr/?p=8 Les psychoactifs ou les psychotropes désignent les produits qui ont des effets sur la psyché et le système nerveux d’un individu. Connues dans le langage courant comme étant des stupéfiants, les connaissances sur ces types de produits sont limitées à des a priori négatifs.

Quels sont ces psychoactifs ?

Les psychoactifs sont généralement perçus comme des produits produisant des effets néfastes sur la santé. Pouvant être pris sous différentes formes, ils peuvent modifier l’état psychique d’un individu. On distingue deux catégories de produits psychoactifs sur le marché dans ce cas. D’un côté, il y a les produits dits licites et ceux qui sont illicites. Les produits sont licites quand il s’agit de psychoactifs qu’il est possible de commercialiser légalement sur le marché comme le tabac, l’alcool ou encore les médicaments hypnotiques, anxiolytiques et les antidépresseurs. Cependant, ils sont soumis à un contrôle strict. Tandis que les stupéfiants comme la cocaïne, le cannabis, l’opium, l’ecstasy, l’héroïne sont catégorisés comme des produits illicites et dont la vente et la consommation sont fortement réprimandées.

Les jeunes : les principaux concernés

Plus de 95 % des jeunes de moins de 17 ans indiquent avoir déjà pris au moins un produit psychoactif. Usage est l’appellation qui définit ce mode de consommation facultatif et sans risque de dépendance. Considérer comme une prise momentanée, ce taux fait référence aux personnes qui consomment par curiosité. D’ailleurs, trois quarts des personnes touchées ne recommencent pas l’expérience si le reste peut devenir avec le temps, des addicts à certains produits.

Des effets qui ne sont pas toujours positifs

La prise de produits psychoactifs est à l’origine de nombreuses situations comportementales à problème. L’usage nocif est un mode de consommation qui affecte négativement le consommateur et ses proches. La consommation abusive de produits dangereux et illégaux ou illicites peut provoquer des risques sanitaires et sociaux graves et met en péril la stabilité psychologique du consommateur et de son environnement. Il peut même en devenir addict et causer plus dommage à son état psychologique. En effet, la situation de dépendance marque une rupture du consommateur lambda avec son environnement. C’est l’aboutissement d’une consommation abusive de psychoactifs, légaux ou illégaux. Les conséquences peuvent ainsi être à la fois physiques et psychiques. Physique, car la prise régulière de stupéfiants rend l’organisme dépendant à ces produits. Psychique, étant donné que l’abstinence à ces types de produits entraîne un manque chez le consommateur, qui se traduit par des malaises et des crises d’angoisses voire des cas de dépression grave.

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Par où commercer pour soigner une infection urinaire ? https://www.srfph-aquitaine.fr/par-ou-commercer-pour-soigner-une-infection-urinaire/ https://www.srfph-aquitaine.fr/par-ou-commercer-pour-soigner-une-infection-urinaire/#respond Tue, 04 Jun 2019 09:37:00 +0000 http://www.srfph-aquitaine.fr/?p=7 L’infection urinaire ou la cystite est une maladie qui touche souvent plus les femmes que les hommes pour des raisons purement anatomiques. En effet, la maladie est provoquée par des bactéries présentes dans la sphère anale et génitale et qui remonte dans la vessie. Pour connaitre un peu plus comment traiter cette infection, suivez alors cet article.

Le diagnostic de l’infection urinaire

Avant de dire que vous avez de la cystite, il faut d’abord faire un diagnostic. Une personne est touchée par une infection urinaire si elle urine très souvent, mais qu’à chaque fois, il y a très peu d’urines accompagnées de sensations de brûlure. Parfois, l’infection urinaire peut s’accompagner de traces de sang dans l’urine ou de fièvre. Les causes de la maladie sont multiples, à savoir une mauvaise alimentation, le port de sous-vêtements synthétiques, une constipation ou encore une relation sexuelle.

Manger du cranberry en abondance

Communément appelé canneberge, le cranberry est une sorte de baie rouge originaire d’Amérique du Nord. Grâce à ses nombreuses vertus, le rôle du cranberry est d’éviter que les bactéries responsables de la cystite s’attachent sur la paroi de la vessie. Bien qu’il soit disponible dans les supermarchés sous forme de jus sucré ou de baies séchées, il est toutefois recommandé de s’en procurer en pharmacie.

Buvez et mangez alcalin

L’une des solutions pour apaiser une infection urinaire est de boire beaucoup d’eau. Cela évite la multiplication des germes dans les urines et leur adhérence à la paroi de la vessie. Le mieux est de boire des eaux alcalines et des aliments alcalins, notamment les fruits et légumes. Avec leurs propriétés diurétiques et leurs richesses en fibre, ils favorisent l’élimination des bactéries intestinales qui contaminent la vessie.

Recourir à l’arbre à thé

L’arbre à thé est une boisson efficace pour soigner une infection urinaire. En parlant d’aromathérapie, le Tea Tree ou l’huile essentielle d’arbre à thé est souvent utilisé comme une anti-infectieuse et actif contre la bactérie E. coli. Jouant encore le rôle d’anti-inflammatoire, l’arbre à thé peut atténuer la douleur liée à l’infection. Il peut être administré par voie orale ou appliqué directement sur le bas ventre.

Utiliser des antibiotiques

La plupart du temps, on fait recours à des antibiotiques lorsque les remèdes naturels ne suffisent plus à soulager les symptômes de la cystite. L’idéal est de consulter votre médecin et celui-ci va vous prescrire le traitement antibiotique adapté. Il faut avouer que l’utilisation d’antibiotiques est anodine, mais elle s’avère importante pour éviter les complications possibles induites par une infection urinaire.

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Faire des dépistages de santé nécessaires à tout âge https://www.srfph-aquitaine.fr/faire-des-depistages-de-sante-necessaires-a-tout-age/ https://www.srfph-aquitaine.fr/faire-des-depistages-de-sante-necessaires-a-tout-age/#respond Tue, 23 Apr 2019 09:49:00 +0000 http://www.srfph-aquitaine.fr/?p=6 Se préoccuper de sa santé est essentiel tout le long de la vie. À tout âge, il est important de passer par des tests et des dépistages divers comme acte de prévention contre des maladies graves. Un dépistage ne nécessite pas forcément le passage sous un scanner, étant donné que c’est une pratique très couteuse. Il est juste préférable de passer chez un médecin afin de déterminer les habitudes quotidiennes à modifier et rester en bonne santé.

Avant l’âge de 50 ans

Une fois qu’une personne a passé de cap des 20 ans, elle doit commencer à surveiller ses habitudes de vie ainsi que divers aspects de sa santé. Dans le cas où le jeune est déjà enclin au tabagisme, à la prise répétitive d’alcool ou présente des signes de surpoids, les risques de contracter des maladies seront de plus en plus élevés au fil du temps.
Avant l’âge de 50 ans, il faudra déjà prendre la tension artérielle toutes les semaines pour se prévenir des problèmes cardio-vasculaires. Pour les femmes, faire un frottis du col de l’utérus est nécessaire tous les trois ans, pour minimiser les risques de cancer. Les prises de sang fréquentes sont également un bon moyen pour surveiller le taux de cholestérol et le sucre dans l’organisme.

Après l’âge de 50ans

Plus le corps vieillit, plus les risques de développer un cancer sont élevés. Un suivi continu par un médecin est conseillé afin d’éviter toute complication de l’état de santé si la personne tombe malade. En ce qui concerne les dépistages de cancer, la fréquence de répétition se fait tous les deux ans environ.
Cela concerne le cancer colorectal, le cancer du sein chez les femmes et le cancer de la prostate chez les hommes. Procéder à des dépistages d’ostéoporose et d’anévrisme sont également recommandés.

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